La couleur du cygne sud-africain. Le rôle des surprises dans l’histoire nucléaire et les effets d’une amnésie partielle

Partager sur :

A Pretoria comme ailleurs, la couleur des cygnes semble unanimement indifférente. Cela paraît naturel: on s’intéresse plutôt à l’échec de la candidature d’Abdul Minty au poste de Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et au moins un peu à l’entrée en vigueur du Traité de Pelindaba, qui doit son nom au site, à une trentaine de kilomètres de Johannesburg, où les ogives nucléaires sud-africaines ont été conçues, construites et stockées pendant une quinzaine d’années.